vendredi 17 août 2018, par Nathalie Lauro
J’étais plongée encore,
Dans mes raisons obscures,
Mes monologues fous,
Mes idées d’horizon.
Je regardais alors,
De mes vagues bonheurs,
La myriade d’étoiles,
Le noir du ciel profond.
Il y avait la lune,
Ses reflets inquiétants,
Mais parfois un clin d’oeil,
Pour des rayons aimants.
Toujours deux, trois pensées,
Pour des chansons d’été,
Des amours sans détour
Et des soleils couchants.