Qui sommes-nous donc pour tolérer ainsi que l’un des nôtres subisse la mort lente en prison ?
Quels justificatifs nous accordons-nous pour continuer à fermer les yeux pendant que l’autre se fait massacrer sciemment par une justice revancharde ?
Où sont-ils donc tous ces philosophes prompts à défendre le réputé Polanski, si taiseux concernant le cas de Jann-Marc Rouillan ?
Quand bien même n’aurions-nous aucune expérience du monde carcéral, nous avons tous frôlé un jour ou (...)