Il ne reste plus rien. Le silence a rongé les maisons. Antonio Scarmeta
Pendant les années 60 à cette époque, il y avait la forêt et le hameau désert.
Seul un berger vivait encore là-haut avec ses bêtes. Il avait tiré le lit au-dessus de l’étable pour récupérer la chaleur des vaches et dans sa cuisine, à côté du pétrin, il avait épinglé la photo de magazine d’un chevreuil. Au milieu de la rudesse, cette image s’avérait surprenante de candeur.
Dans les années 70, de jeunes (...)