Ton enthousiasme pour « Fauves emmurés » me touche beaucoup, c’est un cri du cœur, ce texte… et parfois, le fait d’enlever la ponctuation, peut gêner certains lecteurs. Seulement là, je trouve, comme tu le dis bien, que fond et formes sont en correspondance, ce ne peut être que comme ça si on veut rendre compte de ce qui nous habite à ce moment-là. Une fulgurance…
Mireille