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Un soleil qui s’éteint inéluctablement

mardi 1er février 2005, par Franca Maï

CLARA VINCENT, poétesse mystique, gravement malade se bat pour gagner chaque bouffée d’oxygène.

Enfant de la Dass, élevée dans la grisaille d’une hlm, cette Dame de coeur, d’origine grenobloise, chante « la relation de dépendance quasi religieuse de l’amant à l’aimée »

Cette femme à la beauté humaine viscérale se sait condamnée. Elle n’a pas peur de la mort. Elle la regarde en face, tâchant de l’apprivoiser, en une ultime valse.

Découvrez son site et entourez-la d’un peu de chaleur... Celle-là même qui souligne que nous ne vivons pas dans un monde de chiens.

Clara Vincent
Egalement ici


Extrait de : Chinois de tes cheveux
Un de ses poèmes

Nous avons l’intention
D’un monde d’Amour
Où soleils et brumes
viendraient s’harmoniser
Quand ma bande à moi
Se ferait inviter
Par ceux-là de là haut
Conscients de "comme un décalage"
J’ai comme l’espoir insensé
Que le Nord aimant le Sud
On conviendrait d’un accord majeur
En dehors des conneries
De nos géniteurs guerriers
J’ai comme une confiance immense
Que les rouages biaisés de leurs pensées vieilles
Seront balayés d’un coup d’intelligence
Accordée à notre coeur

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