« Ça ne m’intéresse pas de gagner de la thune pour engranger et me payer des baraques. J’ai envie de m’épanouir dans ce que je fais et partager les feux follets engendrés. Ce monde est mal pensé. Le matérialisme étouffe toute velléité d’harmonie et souligne le fossé entre les êtres. La bataille n’existe que pour bouffer au jour le jour, payer le loyer, jongler avec les dettes, dévorer l’autre. Où se trouve la part du rêve ?... »